بسم الله الرحمن الرحيم
"وجعلنا من الماء كل شيء حي"
صدق الله العظيم
Si nous introduisons cette lettre par un verset coranique, c’est
essentiellement pour donner d’avantage d’importance et de profondeur
spirituelle à l’activité que nous exerçons.
Oui nous gérons le traitement d’un produit vital et notre raison d’être
et de lui assurer une deuxième vie. C’est ce que nous ambitionnons de
concrétiser.
Nous sommes en effet en amont, et par le biais des stations d’épuration, nous nous employons à ce que la réserve hydrique mobilisée « à grands frais » ne soit pas polluée.
Nous sommes également au niveau de la collecte et par nos réseaux d’assainissement, nous nous attelons à récupérer toutes les eaux, sensées être détruites par le « premier usage ».
C’est ce phénomène que nous combattons et de nouveau par des relevages et des stations d’épuration réalisées à des coûts élevés (02 milliards DA
pour une station d’une capacité moyenne et il en faut des centaines),
nous nous "entêtons " noblement et d’une façon récurrente à permettre à
cette nouvelle eau de connaître « une seconde vie » en investissant avec
les sous- produits valorisés dans le développement de l’arboriculture.
Le cheminement sommairement décrit est plus complexe qu’on ne le pense. Il est au centre d’enjeux politiques, économiques et sociaux de première importance. Selon les analystes, les guerres du 21e siècle graviteront autour de l’eau. Et ce ne serait pas admissible d’aggraver notre état de notre pays « semi aride » où les pluies, selon les experts, auront tendance à se faire de plus en plus rares, de ne pas faire de cette « deuxième vie » de l’eau une exigence, une conditionnalité stratégique et un outil de développement durable indiscutable. Les impacts de cette seconde vie de l’eau sont multiples :
Le Directeur Général
Monsieur HASNI Karim